Quand ma grand-mère avait des dents

Solo

« Ma grand-mère avait des dents pour croquer la vie.
En racontant, son regard pétillait.
En l’écoutant nos yeux brillaient et brillent encore.
Elle semait ses graines de sagesse en volées de dictons.
Tenez, ma grand-mère disait toujours… »

Entre émotion et humour, ce voyage au cœur de mes racines, traverse les générations en sinuant parmi des fragments autobiographiques et des contes.
Ces récits intimes et universels s’entremêlent, jouant avec la frontière entre le réel et l’imaginaire.
Ce mélange des genres permet de faire écho à la mémoire collective.
C’est un hommage à ceux qui m’ont tenu la main pour m’emmener vers demain : ces femmes, ces hommes qui, quelles que soient les épreuves ou les facéties, grâce à l’amour, au courage et à la résilience, ont savouré le goût de la vie, retrouvé le chemin de leur humanité, traversé l’Histoire du monde.

Ce spectacle est né de collectages qui m’ont permis de découvrir des bribes d’histoires familiales, de tisser autrement et plus profondément ces liens qui nous unissent.

Un regard sur hier pour ouvrir la porte de demain.

« Le spectacle « Quand ma grand-mère avait des dents » mêle récits autobiographiques et contes entrecoupés de dictons, « les graines de sagesse » de l’aïeule. Ce mélange habile des genres s’inscrit néanmoins dans une continuité narrative.
Le public était captivé par les évocations des souvenirs de la conteuse faisant écho à leurs propres souvenirs et les récits imaginaires, éveillant en eux une part de rêve d’enfant. » Article de LA TRIBUNE

« Récits de vies et patchwork de contes, assemblés et tricotés avec des aiguilles de sagesse, d’humour et de poésie.
Un magnifique voyage sur le chemin de la réalité des imaginaires. » Ariel Thieb, Contes et rencont’es de la BAM

Les Fabulistographes

Récits argentiques
Galerie-spectacle en trio

Pour cette galerie-spectacle, la conteuse, Catherine Fonder, s’est associée au photographe, Rémy Fonder et au musicien multi-instrumentiste Philippe Hofstetter.
Cette prestation se décline dedans ou dehors et pour différents publics :
Ados/adultes – Familial à partir de 6 ans – Scolaires : de l’élémentaire au lycée.

La genèse des Fabulistographes

« Photographier c’est prendre le temps de contempler,d’être curieux du monde, de se laisser surprendre, émouvoir, amuser… »

Catherine et Rémy, ensemble depuis… ( Oh là là ! Déjà tant que ça !) ont eu envie d’allier leurs passions : le conte et la photographie argentique. Ainsi sont nés « Les récits argentiques ».
Les images ont toujours quelque chose à raconter.
Elles évoquent aux uns ou aux autres, un souvenir, une anecdote, une histoire, un voyage…
Dans cette galerie-spectacle éphémère, Catherine pose des récits inspirés par les photographies argentiques noir et blanc de Rémy.
Depuis que Philippe est venu colorer cette prestation de ses notes, elle a été rebaptisée :
« Les Fabulistographes »
Au rythme des histoires, Philippe les accompagne de créations et d’ambiances sonores rêveuses et évocatrices.

Cette expérience originale, permet un possible croisement des publics,
un mélange des regards et sera propice aux échanges.

Le spectacle

Pour une conteuse ou un conteur, une image est un coffre à trésors. Nourris de récits et de leurs vécus, lorsqu’ils plongent à l’intérieur, l’imaginaire les envahit et ne cherche qu’à ressurgir.Certains disent même : « Ce n’est pas le conteur qui choisit l’histoire, c’est l’histoire qui le choisit ».

La conteuse se plonge dans les images choisies et donne à entendre les histoires qui se seront invitées. Emprunte de son vécu, de son univers et de ses rêves, naviguant d’une image à l’autre, elle donne à entendre ses histoires pour emmener le public en voyage au sein de cette galerie d’art éphémère.

Avec ses flûtes traditionnelles, que sont duduk, kaval et fujara, ainsi que diverses percussions, Philippe Hofstetter accompagne les narrations avec des improvisations et des mises en ambiances sonores spontanées.

La durée du spectacle :
– ados-adultes (à compter de 12 ans) : 70 minutes.
– familial (à compter de 6 ans) : 45 minutes.
– scolaire (de l’élémentaire au lycée) : 30mn.

Une galerie éphémère… ou pas !

L’exposition n’est pas thématique. Elle regroupe des photographies argentiques noir et blanc donnant à voir des paysages, des personnages, des œuvres d’art… Certaines en superposition d’images, en relief (embossage) ou incluant des textes (écrits ou en braille).

Son objectif est d’attiser l’oeil du visiteur, afin de lui faire entrevoir ce que l’image, au-delà de ce qu’elle montre, peut, selon son vécu et son « libre-imaginaire », lui raconter.

Selon votre envie, la galerie peut être éphémère ou paset s’installer pour quelques jours.Elle s’adapte à tous lieux, insolites ou non, intérieurs comme extérieurs, éclairés ou pas, de jour comme de nuit. Elle peut aussi être prétexte à une balade contée.

En préambule,les spectateurs prennent le temps de contempler l’exposition. Un temps pour se laisser happer par les images. Une image ne laisse jamais indifférent. Elle a quelque chose à raconter. Chacun peut y trouver une histoire en écho à la sienne.
La visite peut se poursuivre à l’issue du spectacle.

Cette intervention artistique est à géométrie variable en fonction de votre projet, des lieux et des publics.

Petits plus !

A l’issue de la prestation nous pouvons vous proposer :
* un jeu. Quelques photographies argentiques noir et blanc (18x24cm), pourront être offertes.

* un « atelier d’écriture » de 30 à 45mn, peut se dérouler en s’appuyant sur les photographies de la galerie. La lecture des écrits des uns et des autres clôturera cette séance.
Si l’exposition s’installe pour quelques jours dans votre lieu, et si leurs auteurs le souhaitent, ces textes pourront éventuellement enrichir l’exposition.

DOSSIER SUR SIMPLE DEMANDE

Bruissements d’Elles

Duo avec Aude Ehrhardt, musicienne

Envol de notes et de récits :
Femmes d’ici, femmes d’ailleurs,
Boucles brunes et cheveux blancs,
De la détresse aux chants d’amour,
Chacune trouvera son chemin

Ados-Adultes / 60 ou 75mn
Création ma1 2023 – Festival Conte de Villebon-sur-Yvette (91)

Deux textes de ce spectacle ont été publiés. Ils ont été écrits par Catherine et illustrés par Claire Lemoine. Ce sont deux livrets de 24 pages chacun, reliés à la main au ruban de satin. Les illustrations à l’aquarelle viennent ponctuer le texte.